L’expression « qu’un sang impur abreuve nos sillons » de notre hymne, (question développée dans l’onglet « HISTOIRE » de ce site) apparaît infiniment plus dangereuse que de la suppression du mot « race » de notre constitution comme cela a été annoncé dans le cadre d’une prochaine révision de la constitution. Le racisme ne disparaîtra pas en supprimant le mot « race » de la constitution ; Comme le chômage ne disparaîtrait point hélas en supprimant le mot de notre langage. A l’époque où le mot « race » fut choisi pour rédiger la constitution, il signifiait : les gens d’une même famille, par extension, d’une même région (voir encore l’onglet « HISTOIRE »…).
L’explication qui suit suffirait largement :