Depuis mai 2014, je retrouve régulièrement le même « article » dans les pages des réseaux sociaux ou sur des sites dédiés à la gloire des paroles de notre hymne national sous des pseudonymes différents. Ce type de publication génère des commentaires souvent incendiaires et méprisants à l’égard de tous ceux qui comme moi ne partagent pas l’enthousiasme général pour les mots violents de ce chant de guerre.
Mais là, trop c’est trop : une « amie » facebook’ienne vient à son tour de « partager » un texte que je connaissais déjà, et donc de le promouvoir sur sa page. En voici quelques extraits suivis de mon « commentaire » :